Damas / Le ministre de l’Information, Omran al-Zou’bi, a affirmé que la Syrie restera le projet de nationalisme arabe, soulignant que pour cette raison, elle paie le prix.
Dans une allocution qu’il a prononcée lors du Forum international des jeunes pour la solidarité avec la Syrie, organisé aujourd’hui à l’hôtel de Dama Rose à Damas, Zou’bi a fait savoir que la solidarité avec la Syrie doit se muer en des faits et en la transmission de la véritable image de ce qui se passe en Syrie à l’opinion publique mondiale.
Zou’bi a parlé du rôle négatif que certains pays arabes qui avaient pris part à la guerre contre la Syrie jouent dans le soutien à la soi-disant “opposition extérieure” qui n’est qu’un agent à “Israël”.
“L’information syrienne se poursuit en dépit des sanctions économiques qui y sont imposées”, a-t-il dit.
Et Zou’bi de conclure : “L’Etat syrien est ouvert à tout règlement pacifique”.
La Déclaration finale du Forum international des jeunes : Importance de préserver l’unité de la Syrie
Les participants au forum international des jeunes pour la solidarité avec la Syrie ont affirmé au terme de leurs travaux l’importance de la préservation de l’unité des territoires syriens, insistant sur leurs positions constantes face à l’impérialisme américano-sioniste qui est la raison de toutes les crises humanitaires dans le monde.
Dans leur Déclaration finale, les participants ont apprécié l’héroïsme et les sacrifices de l’armée arabe syrienne face au terrorisme takfiriste.
Ils ont réclamé la levée immédiate des sanctions économiques imposées au peuple syrien, soulignant la nécessité de demander des comptes aux criminels de guerre pour leurs crimes terroristes contre les Syriens.
Ils ont appelé à exercer des pressions sur les gouvernements conspirateurs contre la Syrie et son peuple en vue de cesser leur soutien au terrorisme dans le but de mettre fin à la guerre imposée à la Syrie.
En outre, les participants ont insisté sur leur soutien à la cause du peuple palestinien et à sa lutte pour l’obtention de tous ses droits constants.
A. Chatta