Genève-SANA / Le Conseil international pour le soutien à des procès équitables et aux droits de l’homme a réclamé à la communauté internationale de renoncer à son approche erronée envers la Syrie, à y traiter avec la situation humanitaire et à œuvrer pour lever l’embargo et les mesures coercitives unilatérales imposées par certains pays afin d’accroître les souffrances du peuple syrien.
Lors d’un dialogue interactif avec la soi-disant “commission d’enquête internationale sur la Syrie”, dans le cadre de la 52e session du Conseil des droits de l’homme à Genève, le président du Conseil international pour le soutien à des procès équitables et aux droits de l’homme, Abdul Hamid Dashti, a regretté que le Conseil des droits de l’homme et les organes de l’ONU continuent d’appliquer la politique de doubles critères par leur mutisme devant les massacres, les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité commis par “Israël”, les États-Unis et leurs alliés en Syrie.
Il a souligné l’importance de l’arrêt par les États-Unis de la transgression du droit international, du retrait de leurs forces des territoires syriens, ainsi que les forces turques, indiquant qu’il s’agit d’une responsabilité légale et morale du Conseil des droits de l’homme.
W.H. / A.Ch.