Coup d’envoi de l’atelier « Le drame syrien…Construction de la pensée et responsabilité sociale »

Damas-SANA/ Partant de l’importance du drame syrien et de la contribution au développement de son industrie et en vue de discuter les obstacles qui visent la production artistique, les travaux de l’atelier « Le drame syrien…Construction de la pensée et responsabilité sociale », sont lancés ce matin dans l’hôtel d’al-Cham, avec la participation de spécialistes, dont des scénaristes, des réalisateurs, des producteurs, des vedettes, des techniciens et des journalistes.

Au début de son allocution, le ministre de l’Information, Butros al-Halaq, a rendu l’hommage aux héros de l’armée arabe syrienne et à son commandant, le président Bachar al-Assad, à l’occasion de l’anniversaire de la fondation de l’armée syrienne, soulignant que cet atelier est le fruit de la coopération entre le ministère de l’Information et le Comité de l’industrie cinématographique et télévisuelle.

Al-Halaq a évoqué le rôle du drame dans la lutte contre la guerre de conscience et le terrorisme de la pensée, qui est l’une des guerres les plus dangereuses qui avaient visé la Syrie et ciblé sa structure politique, culturelle et sociale, soulignant la grande influence que joue le drame dans la société.

Le ministre a mis l’accent sur le danger qui menace le drame et la société, représenté par le discours de haine et la falsification des faits, qui ont été adoptés par certains modèles de drame.

De son côté, Ali Aneiz, chef du Comité de l’industrie cinématographique et télévisuelle a fait noter que la tenue de l’atelier à ce moment-ci vient pour servir nos questions et mettre en évidence les avantages et les inconvénients, affirmant que des efforts ont été déployés avec toutes les parties concernées pour réaliser un saut qualitatif dans ce secteur.

L.S./ D.Hmaiché.

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