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New York-SANA/ L’ambassadeur permanent de la Syrie à l’ONU, Bachar Jaafari, a réaffirmé que les mesures économiques coercitives unilatérales que certains pays utilisent comme arme dans leur guerre terroriste déclenchée contre la Syrie empêchent les Syriens d’obtenir leurs besoins de vie nécessaires et entravent les efforts déployés par l’État pour lutter contre l’épidémie de coronavirus, insistant sur l’importance de lever ces mesures immédiatement et d’une manière inconditionnelle.
Lors d’une séance du Conseil de sécurité tenue via la vidéoconférence sur la situation humanitaire en Syrie, Jaafari a indiqué que les mesures économiques illégales empêchent les parties médicales et sanitaires en Syrie d’obtenir les besoins pour détecter, diagnostiquer, prévenir et pour traiter le coronavirus.
Jaafari a fait savoir que certains membres du Conseil de sécurité utilisent toujours le Conseil comme outil pour leurs politiques étrangères et pour porter atteinte à la Syrie.
Et Jaafari de poursuivre : « Les 66 rapports de «OCHA» sont partiaux et manquent la crédibilité et traitent avec la situation humanitaire avec une politisation et une sélectivité ».
Il a souligné que la Syrie avait adressé, en coopération avec les pays amis sinistrés par les mesures coercitives, un certain nombre de messages et d’appels au Secrétaire général de l’ONU et aux présidents du CS pour réclamer de lever ces mesures inhumaines qui constituent un terrorisme économique, mais aucune réponse jusqu’à présent par ces pays qui imposent ces mesures.
R.F.
